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dans le cadre de l'initiative d'excellence
Dans le cadre du lancement de l’Institut Thématique Interdisciplinaire Géosciences pour la Transition énergétique ( ITI GeoT), une série de vidéos en motion design a été réalisée pour présenter, et vulgariser, les différents sujets traités par l’institut, ainsi que les thèmes de recherches des groupes de travail le composant.
La géothermie semble être l’une des technologies choisies pour la transition énergétique. Mais comment les centrales géothermiques sont-elles implantées ? Comment utilisent-elles les réservoirs naturels du sous-sol ? Et surtout, comment valorisent-elles l’eau profonde ?
Le groupe de travail “Sciences Sociales” de l’ITI GeoT s’intéresse à l’impact social d’une centrale géothermique sur les habitants des villes, villages ou quartiers, où elle est implantée, ainsi qu’aux différentes relations entre toutes les parties prenantes (riverains, politiques, industriels et scientifiques) au cours de son élaboration et de son exploitation.
Le but ? Comprendre et améliorer l’écoute des demandes citoyennes et guider la gouvernance de ces projets.
L’accès aux recherches scientifiques, et aux données qu’elle produit, à tous et dans tous les niveaux de la société, est le principal enjeu de la science ouverte. Dans le cadre de l’ITI GeoT, le CDGP Centre de données en géothermie profonde (CDGP) occupe le rôle central de diffusion des données scientifiques au plus grand nombre.
Le déclenchement des séismes est un des thèmes de recherche du laboratoire, car elles nous renseignent sur les mécaniques du sous-sol et l’impact de l’homme sur ce dernier.
Que recouvre la notion de risques sismiques ? À quoi sert-elle ? et peut-elle nous aider appréhender les conséquence d’un seisme ?
Knowing the physical characteristics of the subsoil is the challenge of the laboratory’s working group Rock Physics and geomechanics
Une centrale géothermique permet de produire de la chaleur et de l’électricité pour les habitations et les communes alentour. Pour ce faire, la centrale à besoin d’eau profonde chaude, appelée également saumure, pour fonctionner.
Néanmoins plusieurs problèmes se posent : la quantité d’eau profonde est-elle suffisante pour la production ? Comment l’eau en circulation va-t-elle interagir avec son environnement ? ou encore que faire de l’eau en surface une fois utilisé ?
Toutes ces problématiques sont étudiées dans un domaine bien particulier : l’Hydro-géochimie.
La production d’électricité et de chaleur à l’aide d’une centrale géothermique repose sur une connaissance du sous-sol et des fluides présents. Ces connaissances sont validées après la réalisation d’un forage d’exploration. Elles sont fondamentales car elles peuvent réduire la viabilité économique d’un site de production, ou induire des risques lors de l’exploitation. L’objectif est donc de développer et d’utiliser des méthodes permettant d’accéder à ces informations avant la réalisation du forage.
Au sein de l’ITI, le groupe de travail en charge de cet objectif se nomme “Magnétotellurie-gravimétrie”, du nom des techniques utilisées, également appelées méthodes potentielles.